DEBBIE
DOES DALLAS
1er
février 2005
- par Johnny
Pionnier
du mauvais goût, Debbie Does Dallas est probablement
le film porno le plus vendu de l'histoire de la vidéo. Prenant
mon courage à deux mains [et non pas ma quéquette],
je décide de regarder cette oeuvre d'anthologie pour le bénéfice
de nos lecteurs avides de films XXX inécoutables. Des meneuses
de claques d'une école secondaire tentent de ramasser de
l'argent pour se rendre au Texas afin de joindre les rangs
des cheerleaders des Cowboys de Dallas. Mais avant leur départ,
elles participent à une orgie sous la douche avec la moitié
de l'équipe de football locale. Après s'être
assurées qu'elles ne portaient pas de petites culottes sous
leurs jupettes, les jeunes filles partent à la ville se dénicher
un emploi.
Après
une demi-heure à faire des jobines, les poulettes s'aperçoivent
que c'est plus payant de vendre leurs corps. Debbie [Bambi
Woods] baise donc le propriétaire d'un magasin de sports
pendant que ses deux copines lavent une voiture à la pluie
battante dans ce qui semble être un concours de "wet
t-shirt" de fond de cour. Une autre se masturbe avec une chandelle
et se résigne à participer à un "threesome"
sur l'air de "Falling in Love with You" alors que
deux de ses amies, plus audacieuses, baisent le commis d'une boutique
de disque au milieu du rayon des imports. Et je ne vous ai même
pas parler de la jeune étudiante qui se fait faire une fessée
par un vieux prof cochon et de la ramasseuse de balles de tennis
qui se fait ramasser par deux gros moustachus....
En bref: la musique de majorette joue à peu près mille
fois, entrecoupée [rarement] d'un mélange de noise-expérimental-funk-prog-surf.
Les dialogues sont atrocement clichés [aucune surprise],
les scènes de cul sont interminables, encore pire les scènes
d'introduction au cul sont interminables. La plupart des filles
sont moches, préparez-vous à voir beaucoup de chattes
poiluses, de grosses queues molles et de boutons sur les fesses.
C'est si peu excitant que ça donnerait même pas une
érection à un adolescent en puberté. Debbie
est inattrayante, mauvaise, gelée sur l'acide et répète
toujours les mêmes idioties. On essaie de faire un grand film
avec du cul mais ça ne fonctionne pas. Comme dirait un joueur
de hockey dans Slap Shot: "c'est pas d'l'art, c'est
du sexe". Rien de plus. Suivi par Debbie
Does Iowa.
Grille
des prix dans Debbie Does Dallas |
$10
- montrer ses seins
$20 - se faire licher les seins et la chatte
$25 - acte complet |
|