THE PROWLER
02
octobre 2006
- par Lewis
Juin
1945, c'est la fin de la guerre et l'Amérique est en liesse...
Les GIs sont de retour et tout le monde retrouve sa "sweetheart"
et sa famille... Tous sauf un, qui reçoit plutôt à
son retour une lettre de sa bien-aimée, Rosemary,
lui annoncant qu'elle a décidé de ne plus l'attendre...
Lors d'une fête de graduation d'une école du New Jersey,
un petit couple quitte la danse pour aller passer un peu de temps
collés-collés sur le bord de l'eau... Un mystérieux
assassin habillé en soldat apparaît de nulle part et
transperce nos deux tourteraux d'un coup de fourche bien dirigé...
Il dépose ensuite une rose sur le corps de la jeune femme...
Un rose pour Rosemary...
Fast-Forward
au présent, 1980, et c'est encore une fois le temps
de l'année de la graduation... Un groupe de nubiles étudiantes
réussit à convaincre l'establishment de l'école
qu'il est grand temps qu'on reprenne la tradition du bal de fin
d'année, abandonnée il ya de ça 35 ans... Devinez
ce qui va arriver pour voir...
Le killer est
cool, les meurtres variés et sauvages à souhait...
On sent que le gars "trippe" à martyriser ses victimes,
mais qu'il effectue quand même son "travail" avec
une froideur et une précision digne d'un chirurgien bien
expérimenté... Les pitounes ont évidemment
toutes le look Olivia Newton-John avec leurs petites robes
quétaines... Au moins elles n'ont pas trop peur de nous faire
voir leurs seins. Le Shérif-adjoint de service est minable
et complètement émasculé par sa blonde... Ce
sont vraiment les cools meurtres et les effets signés Tom
Savini qui sauvent ce film, parce que plusieurs scènes
sont beaucoup trop longues pour un film où on sait déjà
ce qui va arriver... Je comprend que je le réalisateur essaie
de créer une ambiance, mais 4 minutes de promenage en rond
dans une maison où il fait noir, ça endors... Cool
petit twist au sujet du killer à la fin, je dois admettre
que je ne l'avais pas vu venir... Le killing est mémorable,
le reste du film non.
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