SANTO EN EL TESORO DE DRACULA
10
mars 2008
- par Lewis
El
Santo est dans ce film un super scientifique masqué
[évidemment] qui protège son identité afin
de mener des expériences de voyagement temporel en
toute anonymité... Il teste sa super machine "dématérialiseuse
temporelle" sur Luisa, la fille de l'un de ses collègues
scientifique, et la belle se retrouve non seulement au siècle
dernier, mais également dans les griffes du vampire Dracula!
Santo et son ami le Dr. Sepulveda regardent le retour dans
le temps de Luisa sur un écran de télévision
[????] et quand la belle se retrouve en danger de mort, ils
la ramènent au temps présent... Mais ils ramènent
aussi avec elle les problèmes que représente le méchant
Dracula!!!
Afin de prouver le bon fonctionnement de sa machine à voyager
dans le temps, Santo et ses acolytes se lancent dans une course
folle pour trouver le trésor du vampire... ils devront faire
vite, car le vilain "Cagoule Noire" est lui aussi
en quète du légendaire trésor... Et le vampire
du temps-présent, Alucard [lisez son nom à
l'envers], veut pour sa part ravoir sa douce Luisa comme conjointe...
pour l'éternité! Ayayaie!
Je sais que
l'histoire ne tient pas trop debout, mais c'est comme ça;
ce film est un super mélange de n'importe quoi...:
Au début on se croit dans une production Hammer Films,
puis ensuite on nage en plein épisode de Batman pour
ensuite assister à un match de lutte endiablé pour
revenir dans Plan 9 From Outer Space
pour ensuite revenir dans...... vous voyez le genre. Pas beaucoup
de bagarres malgré tout, et la scène ou des luchadores
apprennent à Santo à lutter [c'est un scientifique
dans le film, n'oubliez pas!] est tout simplement ridicule... Les
effets spéciaux sont minables à souhait, et les décors
kétaines juste comme il faut.
J'ai adoré les petits suits quétaines de Luisa
[Noela Noel] ainsi que les magnifiques cols roulés
de Santo. Le personnage de Perico [Alberto Rojas]
est tout simplement tordant, avec sa bouille de Jacques
Brel gai à grosses lunettes et son super pendantif en
signe de piasse emprunté à un rapper de bas-étage
circa 1988... Précurseur le mec!
La grosse déception
du film, c'est qu'il se termine en queue de poisson sans même
qu'on ait vu le fameux trésor tant convoité.
Diantre!
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